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La précarité énergétique s’est imposée comme un enjeu majeur, en France comme dans l’agglomération toulousaine. A la croisée de trois facteurs : la mauvaise qualité thermique des logements, la hausse des coûts de l’énergie et la faiblesse des revenus des ménages, cette problématique interpelle concrètement les politiques locales. Malgré une mobilisation accrue des pouvoirs publics, il reste encore aujourd’hui un réservoir important de logements à réhabiliter, impliquant de nombreux acteurs.L’atelier co-organisé par les observatoires partenariaux de l’environnement et de l’habitat a constitué un premier rendez-vous sur le thème énergie-Urbanisme et a ciblé de façon spécifique la question de la précarité énergétique dans l’habitat et ses conséquences multiples : financières, techniques, sociales, sanitaires, environnementales ….

Les différentes interventions des acteurs de la précarité énergétique ont apporté des éclairages et ont favorisé les échanges en vue d’une connaissance partagée des situations locales. Qui sont les ménages les plus touchés ? Existe-t-il des types d’habitat et des secteurs géographiques plus vulnérables que d’autres ? Quelle efficacité des dispositifs mis en place ?